GROUND / GROUND unplugged // Caroline Laurin-Beaucage
Description
GROUND
Année de création : 2018
Durée : 55 minutes
5 interprètes (4 en version COVID)
GROUND explore les pulsions de l’individu et du collectif, les résonances et résistances entre cinq corps unis par la gravité. Dans une esthétique cinématographique qui fractionne le temps et l’espace, l'œuvre révèle dans la matière des corps la nature de nos conditions humaines, faisant entrapercevoir tout ce qui, instinctivement ou physiologiquement, nous tient ensemble.
Dans GROUND, cinq interprètes s’observent, oscillent, s’animent des mêmes mouvements, isolés ou unis par des contraintes de rebond et de coordination. Le groupe se fait ensemble organique, habité de tensions, de pulsions, paysage mouvant où regards, gestes, aspirations s’influencent sans cesse. Obsessive, captivante, la performance révèle les dynamiques et les interdépendances inconscientes d’un corps social.
GROUND unplugged
Année de création : 2020
Durée : jusqu'à 35 minutes
2 à 5 interprètes
GROUND unplugged transporte la pièce en extérieur et dans des lieux inusités. Cette version abrégée peut s'adapter à différents contextes et espaces et compter de deux à cinq interprètes.
Crédits
Chorégraphie - Caroline Laurin-Beaucage | Interprétation - Rachel Harris + Kimberley De Jong + Brianna Lombardo + Louis-Elyan Martin + David Rancourt | Musique - Larsen Lupin | Éclairages - David-Alexandre Chabot | Scénographie et costumes - Odile Gamache | Dramaturgie - Kathy Casey | Contribution à la création - Elinor Fueter
Production - Montréal Danse + Lorganisme
Coproduction - Agora de la danse
Résidence de création - Agora de la danse, Maison de la Culture Notre Dame de Grâce
Presse
« [Les] changements de rythme sont calibrés avec grande finesse. La performance des interprètes est bluffante. Une dissociation s’opèreentre ce qui se joue dans le haut du corps — propulsions vers l’avant, bras tendus vers le public, poings levés, mains en l’air, pivotements du torse, basculements vers l’arrière, rictus du visage — et le bas avec la cadence régulière des sauts. La singularité de chaque danseur et danseuse se détache dans leur manière d’approcher un même motif en synchronie. »
Le Devoir, Mélanie Carpentier, octobre 2018.