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Les limites infinies de la peau // Caroline Laurin-Beaucage

Description

Année de création : 2023

Durée : 55 minutes

Deux danseurs

Explorer les limites infinies de la peau en plongeant au cœur de l’intimité, c’est ce que propose la chorégraphe Caroline Laurin-Beaucage dans ce laboratoire vivant.

À l’aide de vivariums, bassins transparents déposés sur scène, un duo d’interprètes se met à nu et dévoile leur intimité, tant celle que l’on garde pour soi que celle que nous désirons partager. La musique, la lumière, la scénographie et leurs mouvements se complètent pour lever le voile sur un microcosme en constante évolution. Au sens propre comme au figuré, l’intention de cette pièce est de les confiner, de les dépouiller de leur habitat, de leurs habitudes et des rapports convenus, dans un environnement physique aussi unique qu’exigeant. Les deux corps se bercent et s’agitent en toute transparence dans ces bassins qui deviendront rapidement leurs maisons.

Quels sont les liens pouvant être tissés entre soi, l’autre et l’environnement ? Est-ce que notre corps peut être un vecteur poreux, au point d’en oublier la frontière de la chair ?

Crédits

Idéation et chorégraphie - Caroline Laurin-Beaucage | Interprétation - Léonie Bélanger & Simon Renaud | Musique - Jean Gaudreau | Collaboratrice à la création - Ginelle Chagnon | Répétitrice - Sara Hanley | Regard extérieur - Catherine Duchesneau | Lumières - Sonoyo Nishikawa | Costumes - Dave St-Pierre | Chef électrique et régie - Julie Laroche | Direction technique et régie - Samuel Thériault | Direction de production - Maurice-G. Du Berger | Consultante à la fabrication des décors - Odile Gamache | Réalisation de la scénographie - GAUFAB | Vidéo - Robin Pineda Gould

 

Coproduction - Agora de la danse | Production déléguée - Lorganisme

Résidences - ·La petite Place des Arts, Maison de la culture de Pointes-aux-Trembles, Le LAVI (Laboratoire Arts Vivants et Interdisciplinarité, UQAM), Agora de la danse

Presse

« Tout en sincérité et avec habilité, le spectacle – visuellement très beau et doux – arrive à créer un univers de sensations partagées. […] En s’attardant sur le titre de la création, on peut y lire deux images opposées. Limite signifie "une ligne qui sépare […] ou une partie extrême où se termine une surface, une étendue", selon Le Petit Robert. Il y a quelque chose de l’ordre de la coupure. Alors que l’infini enlève cette notion de limite. C’est une juxtaposition d’idées optimistes. J’y lis qu’à travers notre intériorité, on est toujours un peu plus proche des autres. » Rose Carine Henriquez, Revue JEU

Photos : Frédéric Veilleux

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